La manière dont les gens se réapproprient un environnement normé. Les éléments déclinés à l’extrême réduisant ainsi les formes à de simples signes. Le mélange d’empreintes culturelles, usuelles, architecturales ou encore historiques au sein d'un même objet.
Ces trois énoncés, symboles d'une façon de vivre et porteurs d’un questionnement sur l'authenticité, sont à la base du travail de Marie-Hélène Gobbo et de l'imagerie à laquelle elle fait appel.

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    snook partiel, 2018
    dimensions variables (environ 400 x 500 cm)
    matériaux divers.

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    jardinière, 2016
    plâtre, Edelweiss de culture.

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Partisane d'une pratique généreuse, Marie-Hélène Gobbo s’exprime principalement via des installations et sculptures volumineuses. Elle utilise souvent des matériaux pauvres, provenant du chantier, choisis non pas pour leur fonctionnalité mais pour leur esthétique. Elle joue, manipule et accentue les spécificités de ces diverses formes qui sont quelquefois incongrues mais qui, surtout, font preuve d'une liberté décomplexée face à des normes et des originaux fétichisés.

Soucieuse de toujours progresser dans sa pratique artistique, elle a suivi plusieurs stages dans le but d’améliorer son expertise technique, notamment en vitrail (Puy-Guillaume) en 2014, mais aussi dans le travail du marbre (Carrare) en 2016. En 2017, son travail est exposé au Musée d’art contemporain des Marquisats (Annecy).

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    Gobbo Granito, 2017
    béton, carrelage, tente de réception.

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    «Nos régions ont du talent», 2018
    dimensions variables
    matériaux divers.

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