Le travail de Romain Blanck commence par la collecte, avant d’arriver à une traduction en peinture d’un regard posé sur différentes formes observées dans le réel.
Des formes sans prétentions, abandonnées et éphémères, réalisées souvent dans l’urgence, qu'il considère comme disponibles pour les ré-employer en peinture.

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    Sans titre, 2019
    Acrylique sur toile
    180 x 120cm

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    Sans titre, 2019
    Acrylique, et peinture aérosol sur toile
    200 x 130cm

Dans la traduction de ces gestes désintéressés, la peinture va venir corriger, masquer, couper et déformer. Les peintures arrivent en résultat de ces négociations permanentes entre les différents niveaux de reproduction, entre le protocole établi et les accidents assumés.
La peinture est construite par recouvrements successifs, les repentirs et corrections laissant apparaitre des traces des différentes étapes qui ont existé.

En 2019, Romain Blanck a présenté son travail à la fondation d’entreprise Ricard lors de l’exposition collective L’almanach des aléas conçue par le collectif milo, puis au Multiplo project space à Padoue (Italie).
Il participera en 2020 à l’exposition collective Eclats qui se tiendra au centre d’art Le Creux de l’Enfer (Thiers).

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    Maxi Best of Luck, 2019
    Vue d'exposition
    Les Halles du Faubourg (Lyon)

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    Le droit à l'erreur, 2019
    Vue d'exposition
    DNSEP, ENSBA (Lyon)

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